19-04-2024
Accueil arrow Elections arrow Le mot de Jean-Michel Vernochet
AccueilActuLiensContacts
Menu
Accueil
Elections Européennes 2014
Dossiers
Actualité
Elections
Fil d'actualité
Liens et Pétitions
Recherche
Portrait
Contacts
Administration
Echanges Internet

Le mot de Jean-Michel Vernochet Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
Écrit par Alternative Démocrate   
03-05-2009

ELECTIONS EUROPEENNES 2009

Liste EUROPE ET DEMOCRATIE
Jean-Michel VERNOCHET, tête de liste, RIC Nord-Ouest
Claire AYMES, 2è de liste, Alternative Démocrate


Le mot de Jean-Michel Vernochet

La crise s’aggrave : ni gauche, ni droite !
16 avril 2009

Ni la gauche ni la droite ne nous sortirons du pot-au-noir où nous sommes tombés par la faute d’hommes et d’institutions dont la seule religion est l’argent et le seul motif d’exister, l’appât du gain…
IL faut trouver des solutions au chômage et à la crise sociale qui s’accroissent de jour en jour… Il est clair désormais que la “gauche”, en France comme au Royaume-Uni, est passée avec armes et bagages dans le camp de l’ultralibéralisme.

En panne d’idées, et plus encore d’idéaux, elle s’est engouffrée massivement par la porte de la politique d’ouverture avec les résultats que l’on sait : elle cautionne aujourd’hui explicitement la politique la plus anti populaire que la France ait connu depuis que le socialiste Jules Moch faisait, en 1947, tirer sur les mineurs des houillères du Nord…

Il faut changer tout cela, de fond en comble, or pour trouver des solutions véritables et durables, pour les hommes, leur travail et leur famille (et non pour les profits d’actionnariats anonymes et d’un grand patronat uniquement préoccupé à dégager le maximum de profits au détriment de leurs salariés), il faut des hommes désintéressés dont le parcours prouve un engagement sans faille au service de la société et de nos libertés démocratiques…

La crise des pêcheries, de Boulogne en particulier, n’est que l’un des symptômes parmi d’autres du désert industriel qui progresse sur tout le nord de la France…
Il faut donc sortir maintenant de l’impasse où nous ont enfermés les partis traditionnels, lesquels ne sont au fond que les deux faces faussement antagonistes d’un même système…

Pour toutes ces raisons, je vous engage vivement à voter pour la liste « Europe et Démocratie » !

Jean-Michel VERNOCHET, journaliste, ancien enseignant, puis agent de la fonction publique au ministère de la santé avant de commencer une nouvelle carrière au service d’une information citoyenne, vient de publier au éditions de l’Infini une dure critique de l’Europe et des impasses où les Institutions de Bruxelles nous enfoncent.

Ce livre vous permettra le cas échéant de mieux saisir l’urgence absolue de réorienter la construction européenne dans un tout autre sens, pour la placer cette fois, véritablement au service exclusif des hommes et des peuples…

“Europe - Chronique d’une mort annoncée”
Les éditions de l’Infini - 61, rue du Jard – 51100 Reims - France
Tél. : 33 (0)6 63 97 87 26 – 33 (0)6 81 88 98 74 ,
Courriel : Cet e-mail est protégé contre les robots collecteurs de mails, votre navigateur doit accepter le Javascript pour le voir
Il répond à vos questions via Dailymotion…
rendez-vous donc à l’adresse suivante : http://www.dailymotion.com/search/MOLESMES/1

Rendez-vous également sur le site de “Terre Future”…
http://www.terrefuture.fr/

http://www.ric-france.fr

 

 

Dernière mise à jour : ( 21-05-2009 )
 
< Précédent
A la une
Pourquoi  dire NON au Plutonium américain ?

1- Areva prétend agir "pour la Paix" en reconditionnant du plutonium américain issu des bombes atomiques.
Réponse : C'est exactement comme le pyromane qu'il faudrait féliciter parce qu'il s'est joint aux pompiers : en effet, Areva est détenue à 70% par le Commissariat à l'énergie atomique (CEA), l'organisme qui a fourni aux militaires.... le plutonium nécessaire aux bombes atomiques. Par ailleurs, Areva fournit en permanence du combustible nucléaire aux centrales EDF d'où il ressort, parmi les déchets nucléaires, du plutonium !

2- Areva prétend que la meilleure solution pour le plutonium militaire est d'en faire du combustible pour l' "incinérer" dans les centrales nucléaires.
Réponse : une fois utilisé dans les centrales, le combustible "Mox" (de l'uranium auquel est ajouté un peu de plutonium) se présente sous la forme de déchets nucléaires qui vont durer des milliers d'années, contenant en particulier de l'uranium, de l'americium, et du... plutonium. Le problème reste donc entier.

3- Que faire du plutonium puisque rien ne peut le faire disparaître ?
Réponse : la moins mauvaise solution est certainement de mélanger le plutonium à d'autre déchets nucléaires (ainsi le plutonium devient inutilisable à des fins militaires), mais surtout pas d'en faire du mox et de le transporter (comme le propose AREVA), ce qui est très dangereux et beaucoup plus coûteux.
Il n'existe hélas pas de solution parfaite. Le plutonium n'existe pas dans la nature, ce sont les entreprises du nucléaire qui le fabriquent. La première chose à faire est d'arrêter cette industrie folle et irresponsable pour arrêter de produire des déchets nucléaires.

4- Areva prétend importer le plutonium américain en toute sécurité.
Réponse : les incroyables effectifs militaires déployés signifient bien que le danger est immense. Pourtant, ces mesures sont inopérantes : il y souvent des attaques au lance-roquettes sur les fourgons bancaires, la même chose peut hélas être faite sur les camions de plutonium. Or, il est impossible de protéger un parcours de 1300 km. Par ailleurs, un accident (en particulier dans un tunnel ou sur un viaduc) pourrait aussi avoir de lourdes conséquences. Aux USA, il faut 3 camions pour transporter 140 kg de plutonium, mais les autorités françaises permettent le transport de cette cargaison sur un seul camion.
Rappel : un millionième de gramme de plutonium suffit à tuer une personne.

5- Areva prétend que le traitement à Cadarache du plutonium se fera en toute sécurité.
Réponse : Areva a décidé de traiter ce plutonium dans une installation nucléaire officiellement fermée car inadaptée au risque sismique. En effet, après huit longues années de demandes infructueuses, l'ASN (Autorité de sûreté nucléaire française, qui n'a donc d'autorité que dans le nom) a obtenu la fermeture "définitive" de l'Atelier de plutonium de Cadarache lors de l'été 2003. Aujourd'hui Areva joue sur les mots et l'ASN se tait : cette fermeture ne concernerait que les production commerciales. Serait-il moins grave de mourir d'un accident nucléaire "non-commercial" ? De toute façon, c'est bien un contrat commercial qui lie la multinationale nucléaire et l'armée américaine.
Areva n'agit pas pour la Paix mais pour des raisons financières.

Michel Laval Vice –président MEI chargé de l’Environnement
Claire Aymes Pdte MEI 13
Le Mouvement Ecologiste Indépendant est membre du Réseau Sortir du Nucléaire 
Réseau Sortir du Nucléaire

 


Réalisation Mamboléo et www.mambopl.com
© 2024 Claire AYMES
Joomla! est un logiciel libre distribué sous licence GNU/GPL.