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Du droit de vote des étrangers ou l’art d’enfumer le blaireau Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
Écrit par Claire AYMES   
25-10-2011
J’observe depuis plus de dix ans, avec toujours autant de curiosité, les mêmes gesticulations politiciennes.
A chaque échéance présidentielle, la majorité ou l’opposition nous agitent, alternativement, le même chiffon rouge.
J’observe depuis plus de dix ans, avec toujours autant de curiosité, les mêmes gesticulations politiciennes.
A chaque échéance présidentielle, la majorité ou l’opposition nous agitent, alternativement, le même chiffon rouge.
Selon qu’il les arrange ou pas, le droit de vote des étrangers réapparaît régulièrement dans la bouche de la majorité ou de l’opposition, comme une diversion destinée à « chauffer » les extrémistes de droite, plus qu’une réelle volonté de changer les choses.
Il n’en reste pas moins utile que la question soit sérieusement étudiée.

Pourquoi refuser d'octroyer le droit de vote à toutes les personnes étrangères en situation régulière lors des scrutins locaux ?
En travaillant ces personnes payent les impôts, les taxes, les charges sociales.Alors même qu’ils n’ont pas la nationalité française, ces citoyens financent les retraites dont pour la plupart, ils ne bénéficieront jamais.
Logiquement, ces citoyens doivent pouvoir désigner celui ou celle qui décidera de leur vie quotidienne et de l’éducation de leurs enfants au niveau, au moins, local.
Il se trouve que les étrangers issus de l’Union Européenne votent depuis 2004 dans la plus grande hypocrisie gouvernementale. On évite soigneusement de le crier sur les toits, on se demande bien pourquoi.

C’est donc, à l’évidence, l'immense majorité des résidents étrangers hors Union Européenne résidant en France ou originaire de ce qui était la France coloniale qui est visée.C’est cette majorité qui est privée du droit de vote, même et surtout au niveau municipal.

« Liberté-Egalité-Fraternité » qu’ils disent toujours.
La couverture morale de l’esprit républicain des uns semble s’effilocher là où commence le hâle plus ou moins prononcé des autres.Il faudrait quand même voir à ne pas se tirer une balle perdue dans le pied chers politiciens.
Car ces populations discriminées pourraient ouvrir les yeux et se rebiffer.
Le retour de bâton pourrait alors se révéler meurtrier.

En effet, ces citoyens plus ou moins tolérés participent aux recensements des populations et font donc gagner de l’argent à vos municipalités. Ce qu’elles ne savent pas encore assez.

Pour mémoire, le recensement aide à mieux connaître la population d’une ville, permet de proposer des services ciblés (plus d’écoles, de logements ou d’hôpitaux par exemple) mais surtout, le recensement offre aussi une meilleure répartition des subventions sur le territoire.
Vous savez mieux que quiconque qu’on n’échappe pas au verdict du tiroir-caisse.
On imagine d’ici les dégâts financiers si il prenait à ces populations la fantaisie d’entrer en dissidence.
Et ce n’est pas une amende, quel qu’en soit le montant, qui pourra endiguer une rébellion aux effets dévastateurs.
La possibilité d’une telle bronca a apparemment été envisagée puisqu’elle a suscité la question au gouvernement suivante :
http://questions.assemblee-nationale.fr/q12/12-81226QE.htm posée par Mme Marie-Jo Zimmermann, député UMP de Moselle.
Avis aux amateurs.
Claire Aymes, Ecologiste libre sans étiquette
Pdte Alternative Démocrate
Dernière mise à jour : ( 22-05-2012 )
 
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Pourquoi pas la France ?


Alors que des pays comme les Etat-Unis, le Canada, l’Australie et l’Europe du Nord sont déjà très avancés dans la performance du zéro déchet, il reste encore beaucoup à faire, en France, pour amorcer la démarche. Les directives européennes existent, mais elles ne sont pas transposées. Une inertie regrettable, car Zéro déchets est une déclinaison concrète du développement durable : il réunit à la fois la protection de l’environnement en réduisant la pression sur les ressources naturelles, il favorise le développement économique par l’émergence d’un nouveau marché et crée de la responsabilité sociale en offrant des gisements d’emplois liés à cette activité.
« zéro décharge » est loin d’être atteint et près de 80% des départements risquent d’être dépassés par les volumes de déchets à traiter d’ici 2010. Deuxième explication : la puissance des lobbies de l’incinération, qui bloquent toute initiative alternative dans le management des déchets et entretiennent l’opacité sur cette activité.
Les incinérateurs, même aux meilleures techniques disponibles, empoisonnent l’air, le sol et l’eau avec des polluants persistants et mortifères.
C’est une approche qui veut qu’au lieu de produire des ordures, on produise des matières premières pour d’autres processus industriels. L’expression « zéro déchet » s’inspire du concept industriel japonais de gestion intégrale de la qualité (ou politique du zéro défaut) qui s’est montré très efficace. Ses objectifs, dont le « zéro défaut », ont amené de surprenantes améliorations des technologies de production. Transposé dans le domaine des ordures ménagères, le Zéro Déchet demande de prêter attention à l’ensemble du cycle de vie des produits. Cela comprend non seulement le recyclage des matériaux, mais aussi la substitution des matériaux polluants non-renouvelables par des alternatives renouvelables.
L’incinération, une technologie coûteuse et polluante, réclame une garantie d’approvisionnement en déchets afin de rembourser les énormes investissements consentis. Par conséquent, les incinérateurs deviennent des obstacles à la transition vers le Zéro Déchet. Une fois que les gouvernements se sont engagés sur la route de l’incinération, ils se condamnent automatiquement à subir cette technologie pour 25 à 30 ans.
Une des premières stratégies formelles Zéro Déchet fut créée en 1995 lorsque la ville de Canberra, en Australie, se fixa un objectif « Zéro déchet d’ici 2010 ». Depuis 1995, le Zéro Déchet a été adopté comme objectif par les pouvoirs publics de Nouvelle Zélande ; du Danemark ; de la ville de Seattle, état de Washington ; des comtés de Del Norte et de Santa Cruz, en Californie ; d’Edmonton et d’Ottawa, respectivement dans les états de l’Alberta et de l’Ontario, ainsi que la Nouvelle-Ecosse, au Canada. Des entreprises se sont également converties au Zéro Déchet : Xerox, Sony, Mitsubishi, IBM, Bell Canada, Kimberley Clark, Hewlett Packard, et Toyota. Les programmes Zéro Déchet mis en œuvre par des collectivités créent des opportunités d’embauche, évitent la perte de ressources dans les décharges et les incinérateurs et stimulent les économies locales.
Vu sous ce jour, le Zéro Déchet n’est pas qu’une politique gouvernementale responsable, c’est aussi une gestion économiquement efficace.

A rticle du 28/01/03 source documents : http://www.greenpeace.fr

 


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