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Travaux rue de la République Bis repetita Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
Écrit par Claire AYMES   
26-08-2005
Travaux rue de la République Bis Repetita

A l'attention de :
- Lisette Narducci, Maire de secteur, Conseillère municipale
- Josette Sportiello-Bertrand, 1er Adjoint, Déléguée à la Sécurité au CLS à la Propreté à l'Eclairage et à la Voirie
- La Direction de la Circulation,

Mesdames, Messieurs,
Le chantier du futur tramway  fait rage tout le long de la rue de la République.
Tout le monde est conscient de l’importance des travaux à faire effectuer et du bénéfice général attendu.
Il n’en reste pas moins dangereux de traverser la rue de la République place Sadi Carnot actuellement mis en giratoire, au niveau du parking des phocéens, au feu de la rue François Moisson.
Depuis le 16 novembre 2004 deux enfants ont été renversés pendant l’année scolaire.
L’un au feu rouge du Crédit Mutuel, place Sadi Carnot, l’autre au passage clouté reliant la rue Cathala au Parking des phocéens.
Après les reportages critiques de la presse écrite et télévisuelle ainsi qu’une une pétition ayant récolté 800 signatures des riverains, seule la jonction FMoisson/République avait été sécurisée, avec présence d’agents de police aux heures d’entrée et de sortie. L’état d’ancien élu de l’un des directeurs a dû y être pour beaucoup.
Mais la rentrée 2005 se profile déjà : le 29 août 2005 pour les écoles ayant opté pour la semaine des 4 jours et le 2 septembre 2005 pour les autres écoles.
Mise au courant, Marseille Provence Metropole en charge du chantier a promis par l’intermédiaire d’un responsable de faire son possible pour baliser et sécuriser tous les passages que les enfants devront emprunter pour traverser la rue de la République.
Pour cette rentrée scolaire, la Municipalité en fera –t-elle de même pour tous les passages dangereux sachant qu’elle doit assistance et sécurité à tous ses administrés?
Claire Aymes 06 11 50 47 27
Déléguée Europe Ecologie Paca
 
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A la une
Pourquoi  dire NON au Plutonium américain ?

1- Areva prétend agir "pour la Paix" en reconditionnant du plutonium américain issu des bombes atomiques.
Réponse : C'est exactement comme le pyromane qu'il faudrait féliciter parce qu'il s'est joint aux pompiers : en effet, Areva est détenue à 70% par le Commissariat à l'énergie atomique (CEA), l'organisme qui a fourni aux militaires.... le plutonium nécessaire aux bombes atomiques. Par ailleurs, Areva fournit en permanence du combustible nucléaire aux centrales EDF d'où il ressort, parmi les déchets nucléaires, du plutonium !

2- Areva prétend que la meilleure solution pour le plutonium militaire est d'en faire du combustible pour l' "incinérer" dans les centrales nucléaires.
Réponse : une fois utilisé dans les centrales, le combustible "Mox" (de l'uranium auquel est ajouté un peu de plutonium) se présente sous la forme de déchets nucléaires qui vont durer des milliers d'années, contenant en particulier de l'uranium, de l'americium, et du... plutonium. Le problème reste donc entier.

3- Que faire du plutonium puisque rien ne peut le faire disparaître ?
Réponse : la moins mauvaise solution est certainement de mélanger le plutonium à d'autre déchets nucléaires (ainsi le plutonium devient inutilisable à des fins militaires), mais surtout pas d'en faire du mox et de le transporter (comme le propose AREVA), ce qui est très dangereux et beaucoup plus coûteux.
Il n'existe hélas pas de solution parfaite. Le plutonium n'existe pas dans la nature, ce sont les entreprises du nucléaire qui le fabriquent. La première chose à faire est d'arrêter cette industrie folle et irresponsable pour arrêter de produire des déchets nucléaires.

4- Areva prétend importer le plutonium américain en toute sécurité.
Réponse : les incroyables effectifs militaires déployés signifient bien que le danger est immense. Pourtant, ces mesures sont inopérantes : il y souvent des attaques au lance-roquettes sur les fourgons bancaires, la même chose peut hélas être faite sur les camions de plutonium. Or, il est impossible de protéger un parcours de 1300 km. Par ailleurs, un accident (en particulier dans un tunnel ou sur un viaduc) pourrait aussi avoir de lourdes conséquences. Aux USA, il faut 3 camions pour transporter 140 kg de plutonium, mais les autorités françaises permettent le transport de cette cargaison sur un seul camion.
Rappel : un millionième de gramme de plutonium suffit à tuer une personne.

5- Areva prétend que le traitement à Cadarache du plutonium se fera en toute sécurité.
Réponse : Areva a décidé de traiter ce plutonium dans une installation nucléaire officiellement fermée car inadaptée au risque sismique. En effet, après huit longues années de demandes infructueuses, l'ASN (Autorité de sûreté nucléaire française, qui n'a donc d'autorité que dans le nom) a obtenu la fermeture "définitive" de l'Atelier de plutonium de Cadarache lors de l'été 2003. Aujourd'hui Areva joue sur les mots et l'ASN se tait : cette fermeture ne concernerait que les production commerciales. Serait-il moins grave de mourir d'un accident nucléaire "non-commercial" ? De toute façon, c'est bien un contrat commercial qui lie la multinationale nucléaire et l'armée américaine.
Areva n'agit pas pour la Paix mais pour des raisons financières.

Michel Laval Vice –président MEI chargé de l’Environnement
Claire Aymes Pdte MEI 13
Le Mouvement Ecologiste Indépendant est membre du Réseau Sortir du Nucléaire 
Réseau Sortir du Nucléaire

 


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